la Macrophotographie

Ceci, ne peut être qu’une description de ma façon de faire pour réaliser mes photos en Macro, Laquelle façon que j’ai apprise les livres que j’ai pu lire ainsi que les conseils de certains photographes dans d’autres forums.

Le mode d’exposition : généralement priorité ouverture (A), en macro, en effet, en macro, la profondeur de champs est très minime, pour cela il faut travailler à des ouvertures entre f/11 et f/16, ça donne le meilleur compromis, avec les boitiers hyperpixilisem il faut rester entre f/8 et f/11.

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Testeur de la profondeur de champ : il est souvent négliger, mais en macro, il est d’une grande utilité, le testeur permet de fermer l’objectif à l’ouverture choisie, ce qui permet de voir la partie qui sera nette et celle qui sera floue et corriger éventuellement la mise au point. On appuyant sur le testeur, le viseur devient obscur, mais il faut coller l’œil à l’œilleton, pour empêcher la lumière parasite d’entrer et attendre un moment vous serez capable de distinguer toute les parties de la photo

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La mise au point : en macro, il faut oublier l’auto focus, la mise au point doit impérativement être en manuel, plus que ça, la mise au point parfois se fasse en avançant et en reculant, c’est le cas par exemple lorsqu’on veut prendre le plus grand rapport d’agrandissement que peut nous fournir notre objectif, donc on fixe de l’objectif à l’infini, et on met la mise au point en avançant ou en reculant l’appareil.

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Le bougé : c’est la bête noire de la macro, pour cela la meilleur méthode de faire est d’utiliser un trépied. S’abstenir à faire de la macro, à l’extérieur en cas de vent, sinon il faut mettre des paravents, ou crier un mini studio que vous pouvez transporter avec vous sans gène (il s’agit uniquement d’une boite que vous pouvez aménager pour ceci).
En cas où on ne dispose pas de trépied, il faut tenir son appareil fermement (pas d’une manière crispée), les coudes serrés le long du corps, avant de déclencher il faut bloquer sa respiration et appuyer tendrement.

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L’éclairage : Pour les sujets immobiles, on peut ce contenter de la lumière ambiante, seulement in faut utiliser des réflecteurs (papier blanc ou aluminium) pour éclairer la partie opposée. Mais souvent, la lumière ambiante est insuffisante, donc il faut utiliser la lumière du flash, il faut essayer d’utiliser le flash déporté, c'est-à-dire pas sur l’appareil, et en même temps utiliser un réflecteur dans le sens opposé, le flash devra être utilisé avec un diffuseur pour que l’éclairage puisse enveloppe le sujet.

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La sensibilité : pour que votre cliché puisse piquer, essqyer de travailler à une sensibilité de 100 ISO,sinon moins que 100 ISO, si c est possible, et ce afin d’éviter les grains.

PS : Après avoir pris votre photo, il faut faire un tour chez Photoshop, pour augmenter la saturation, la netteté,….

J’espère que ceci sera d’une utilité pour vous, s’il y a des questions je suis à votre disposition.

Pour la MAP, on peut aussi être en AF et retoucher le point manuellement, mais des fois, ça pourrait être contraignant, à cause de l'objectif, la plupart ne supportent pas la retouche du point sans débrayer l'AF (faut changer le mode de MAP sur le boitier ou l'optique AF -> MF), certains objectifs, comme mon 16-45 possède la fonction Quick Shift, elle permet de retoucher le point directement sans toucher à l'interrupteur AF sur le boitier

Pour la sensibilité, ça devient plus facile avec les derniers boitiers (Nikon D7000, Pentax K-5, Canon EOS 7D et 60D, Sony Alpha 550), on peut obtenir des photos à 800 voir 1600 ISO aussi propres et piquées qu'à 100 ISO (déjà que ces derniers ne commencent pas à 100 mais à 200 ISO, les 100 ISO c'est un mode d'extension qui fait perdre en dynamique )

Ok

ilyasovich a écrit:

Pour la MAP, on peut aussi être en AF et retoucher le point manuellement, mais des fois, ça pourrait être contraignant, à cause de l'objectif, la plupart ne supportent pas la retouche du point sans débrayer l'AF (faut changer le mode de MAP sur le boitier ou l'optique AF -> MF), certains objectifs, comme mon 16-45 possède la fonction Quick Shift, elle permet de retoucher le point directement sans toucher à l'interrupteur AF sur le boitier

Mouaip mais a mon humble avis il est plus efficace de rester en mise au point manuel mais d'avancer et de reculer le boitier... On l'impression de dodelinerun peu au debut mais c'est bien plus efficace. J'utilise le Quick Shift sur un Pentax DA* 50-135 SDM dans le cas ou la mise au point se fait sur un autre collimateur que celui que je veux (c'est qd meme plus facile que de choisir le collimateur a l'avance)

Druidos a écrit:

ilyasovich a écrit:

Pour la MAP, on peut aussi être en AF et retoucher le point manuellement, mais des fois, ça pourrait être contraignant, à cause de l'objectif, la plupart ne supportent pas la retouche du point sans débrayer l'AF (faut changer le mode de MAP sur le boitier ou l'optique AF -> MF), certains objectifs, comme mon 16-45 possède la fonction Quick Shift, elle permet de retoucher le point directement sans toucher à l'interrupteur AF sur le boitier

Mouaip mais a mon humble avis il est plus efficace de rester en mise au point manuel mais d'avancer et de reculer le boitier... On l'impression de dodelinerun peu au debut mais c'est bien plus efficace. J'utilise le Quick Shift sur un Pentax DA* 50-135 SDM dans le cas ou la mise au point se fait sur un autre collimateur que celui que je veux (c'est qd meme plus facile que de choisir le collimateur a l'avance)

Personnellement, je me sers du collimateur central à 99% des cas